il doit y avoir une raison le tracé des jardins n’ encarrent plus l’horizon mais dégringolent de la hauteur
dans la poigne des villes marchant sous les défrichages le chasseur cueilleur ébauche une trace
sa rêverie les herbes lui sont des moment d’ombre
le temps bâti quand le soleil passe sur les serres
une halte de la suffisance à la survivance
du haut des blocs sur l’aplat des villes
gagnant sur la hauteur amplifie
cache de touffes
à ras le béton
les lignes surgissent frisent l’air et ratissent les fumées tentent de courber le climat avec un coupe coupe denté
si une ville étend spectrale en échiquier sa projection comme des mousses contrecarrent
le silence gagne sur le temps si tout est défriché la découpe de l’oiseau sur le blanc est le ciseau même qui grave son nom sur l’aigu
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