Quand à la perte d’amour oh ! l’objet se retire
la fièvre devenue folle se pose sur les lèvres
Refuse la perdition
Le seau jusqu’au fond pour rechercher l’eau
des mots de teint
jouent à perce-‘étoile
cuistre cuite
chantante et ivre
s’agrippe à ce qui chante
Lucioles frémissent se souviennent des lèvres
les sushis électriques veulent aller à Tokyo
Les yeux blessés caressent le torse
Oh les divines hanches
radieuse bombance
jouent à oscille-Lune
font semblant de croire et se forcent à rire
laissant le parquet triste
valser la valse en trombe
Salace ni solitaire
la tête est dans le seau
d’avoine ou de saké
la balade sourit
langue et dents
songe du fauve
ondulent et roulent
Urbis et Orbis
rentrent le ventre
Juste douceur
la bouche pleine
danse sur la table
décochent ensommeillées
les mâchoires paradoxales
et voluptueusement
jouent à perce-grillage