La route comme une pelote
libère au hasard des herbes alors en chemin sur une butte regarder les vaches s’extasier
l’alouette survenant ?
Sur un cahier je me moque contrefaisant les branches de l’arbre trop parfait puisqu’il existe
seul le vent le détend
Ou peut être la chouette la nuit ou le jour la vache, hilare, s’enquérant de la mousse qu’elle sait douce.
Au delà des bosquets un village
au delà de la route des vergers abritent des pommes dont on fait le cidre
qui finissent par tomber.
où tout cela peut il finir?
Dans ton rire j’ai perçu un bout de la vérité mais tu l’as ravalé ignorant jusqu’à mon avidité et ma fatigue
sans même le cracher
un jour j’irai sur la route qui rira et j’aurais appris à jouer du violon.
