S’éloigner quand viennent les gens en désordre et quand les conversations se mêlent un gai tumulte comparable à une communauté de perruches qui s’éveillent
S’éloigner quand viennent les gens en désordre et quand les conversations se mêlent un gai tumulte comparable à une communauté de perruches qui s’éveillent
belle observation. J’aime » les gens en désordre « . certains chants d’oiseaux plus émouvants que d’autres. Celui solitaire qui perce petit matin me bouleverse de joie à chaque fois que je l’entend
oui vive les chants d’oiseaux le matin et les grenouilles le soir, les perruches elles font plus de bruit, ainsi que les poules lorsqu’elles caquètent
Mais Lam… si nous nous éloignons… « nous »… nous éteignons l’espérance… Tout « éloignement » agit en coupe-circuit de la sève qui anime la grande « batterie » du monde ?
Il me semble que toute forme d’éloignement annule le caquètement d’un alternateur au sein du vivant… ?
Hier, mon fils m’a adressé cette annonce en minuscules :
« cherche un électricien pour rétablir le courant entre les gens
un opticien pour changer leur regard
un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages
un maçon pour bâtir la paix
un jardinier pour cultiver la pensée
et un professeur de maths pour nous réapprendre à compter les uns sur les autres !
Non Lam… ne nous éloignons pas… même quand les gens…
Sincèrement, Marie-Christine