Confusion je ne puis cerner le lieu de matière sombre celle grasse ou profonde de la souche, les yeux là où l’intelligence et l’Histoire en faisait un des jardins du monde, que la conscience du réel semblaient avoir fait surgir comme pensée d’une terre ; les roches et le vert faisait mentir la géographie et l’illusion du froid, je vis l’aridité où le terreau est si riche, et si l’expérience exténuante de vivre ce lieu dans ce temps là cataclysmique, le vent froid de l’automne tournait le sens presque avec la douceur murmurante des imprécations rudes, la poésie était que je les entendais ou était ce l’inclination vers ce nord qui m’avait happé à cet endroit que frontalement je ne le reconnaissais pas.
Mais L’âme…
Si nous parvenions à la cerner…
Nous cesserions d’exister…
Seule la quête entraîne notre « gestuelle, picturale ou poétique »…
Ou « amoureuse »… de la vie vivante… il va sans dire !