la pièce où je vis me renvoie à la douceur lisse, cette profondeur de l’apaisement
aux murs quelques tableaux disent ce que mes yeux et mon esprit ont vu
souvent bien peu de choses, un trait est suffisant
sur les murs la chaux voudrait ressembler au ciel les peintures seraient les nuages et les figurines une étoile, celle qui brille dans la beauté de la nuit
je promène mes pensées comme un pont sur la rivière, ta voix me vient de loin elle est le vent auquel je me fie