et la vie ne s’est pas arrêté, quel est le mot qu’ils emploient
mot de générosité accolé à la perte
ou l’entête+ment de la continuité
serait ce que le néant renait soudainement
serait-ce que côtoie ce qui peut côtoyer
la brèche refermée et la réparation agissante
le monde et le manque, le mot de nouveau concilié
le lien élevé face au rien ; mutilé
et pourquoi cette spirale sans voir responsable de l’inaltérable accolé
et pourtant vivant , heureux d’être en vie tentant d’arracher le silence à la muselière
et le faut il vraiment ; faut il laisser les mots transpirer, les laisser dénouer
l’obstination dans le mouvement aura-t’il raison de l’aval
une simple roche briser le chenal et l’em portement de l’avant
est-ce une simple affaire de nœud
de friction ou d’envers ; de sens au départ ?
d’apparition ou de disparition?
© photos Aida Muluneh (afriphoto)
Je suis sensible à cet article…
Laissons à l’an 2011 le soin de nous répondre, de temps à autre… ne serait-ce que par bribes.
Demeurons éveillés, à l’écoute…
C’est inscrit dans la trajectoire de mes voeux que je suis venue formuler par chez toi.
Amitiés,
Marie-Christine