L’élancement du pinceau plonge au cœur du vide recueille le vivant qui cherche à percer comme les mots qui affleurent nourrissent le sentiment d’exister. Les pigments de mots, l’étincelle, laissent rêver au feu des couleurs, au pesant de la lave comme un retour à une ascendance révélée au fil des visages que l’humanité se donne.
Scruter la terre la nature est son atelier, la couleur, la matière musicale ouvrent le sens intime.
Peintre Poète, il sculpte le rêve que la main porte, en écho à ce chant du monde au cœur de l’homme immémorial.
George Dibbern…
A sailor-philosopher…
« Te rapunga » is still in Auckland, New Zealand…
Merci pour votre témoignage, ce travail de mémoire, imparti au sein de la poésie ou de la peinture fait du sens, amplement… dans le sillage de « Be orators »… Be sailors !
Aimer vivre la vie en passant… tout simplement : Aimer.
Il est un prolongement ineffable « to keep in touch with the road » entre les « êtres, étant là au monde vivant » au nom d’un matin qui chante aujourd’hui et qui sait éclairer la nuit, peut-être à perpétuité sans pouvoir augurer… à condition de demeurer spontanément « gratuit » ce faisant, sans autre attente, comme fait une étoile…
Bien à vous,
Marie-Christine
être là au monde vivant oui dans le sens du sillage sans pouvoir augurer , au contraire , au tout contraire , oui la touche , comme l’orateur laisse répondre l’écho , comme une étoile , je reprends des mots votres , comme un écho d’une étoile ,
j’ai découvert il y a longtemps dibbern chez H Miller dans stand stiil like the hummingbird lorsque j’étais à yale , des heures dans cette grande bibliothèque à bourdonner, entrevoir ce sentiment de liberte à frétiller entre deux dans une am&rique sans silence mais avec le ciel au dessus , limpide au delà des fumées, j’ai retenu cet engagement de dibbern , la Nouvelle zealande fait écho aussi bien sur , la puissance maori pacifique,
en sens sillage à dériver…