Quest
George Dibbern
Te Rapunga
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pocket
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Imprimer
George Dibbern…A sailor-philosopher… »Te rapunga » is still in Auckland, New Zealand…Merci pour votre témoignage, ce travail de mémoire, imparti au sein de la poésie ou de la peinture fait du sens, amplement… dans le sillage de « Be orators »… Be sailors !Aimer vivre la vie en passant… tout simplement : Aimer.Il est un prolongement ineffable « to keep in touch with the road » entre les « êtres, étant là au monde vivant » au nom d'un matin qui chante aujourd'hui et qui sait éclairer la nuit, peut-être à perpétuité sans pouvoir augurer… à condition de demeurer spontanément « gratuit » ce faisant, sans autre attente, comme fait une étoile…Bien à vous,Marie-Christine
être là au monde vivant oui dans le sens du sillage sans pouvoir augurer , au contraire , au tout contraire , oui la touche , comme l'orateur laisse répondre l'écho , comme une étoile , je reprends des mots votres , comme un écho d'une étoile , j'ai découvert il y a longtemps dibbern chez H Miller dans stand stiil like the hummingbird lorsque j'étais à yale , des heures dans cette grande bibliothèque à bourdonner, entrevoir ce sentiment de liberte à frétiller entre deux dans une am&rique sans silence mais avec le ciel au dessus , limpide au delà des fumées, j'ai retenu cet engagement de dibbern , la Nouvelle zealande fait écho aussi bien sur , la puissance maori pacifique, en sens sillage à dériver…