tentative absurde d’auto vase communicant entre deux blogs de la même personne <moi-même> comment faire sans risquer l’enfermement et l’asile ; bref je vous propose à ceux qui suivront, un parcours erratique , libre à vrai dire, entre différentes parties d’un même texte (ancien mais jamais bloguié) réparti entre les deux blogs, à lire comme bon semble – je m’étais dit que les liens pouvaient mener de parties à partie mais la technique me fait défaut – donc que la lecture se répartisse comme elle l’entend – c’est encore la meilleure façon d’auto-e vase_communiquer entre « le regard d’Orion » et « les vents de l’inspire«
empêtré, noyé dans une perplexité sans fin ,
il rencontre des groupes apatrides, des espèces disparues et des formules du génome non-explicites
se mêlent à :
les chants perplexes des forêt et les mentalisations des sables s’opposent aux barrages
aux pluies acides des bois-sans-soif
vodka dans le bocal et l’échelle qui mène à lEther
il rencontre des érudits se perd dans les soutes des cargos des détours,
des hommes de loi brisent la chaine du froid
comme des pics à glace ,
qui rient
qui se moquent un désespoir incongru, qui du haut de leur boite à sardines lui vendent tous les livres qu’ils ont écris ou pas écris, UTOPIA c’est un cercle où milles et cents visages tendent l’arc en X
AURORE boréale calotte glaciaire et trou d’OZONE boit au bol la voie lactée anciennement tropique du Capricorne la chèvre est pixelisée et tourne le globe en ARC de cercle flèche feu de tout bois les empennages YA de bambou shinodake (篠竹?). ethylisent
une tempête de mots informe jase ,
émet des hypothèses ,
rêve du TEMPS du Rêve
pointillise les lignes de partage
CACHE
espère ,
le signe directionnel ne prend un sens que s’il est valide, biologiquement
une SYMBIOSE
qui
exclue
ponctue
cette mystification …
avoir fait tout ce chemin pour en arriver là, ces déserts , ces gouffres, ces détours empierrées, ce sable des sourires mouvants, ces orchidées écrasées,
rebelle ?,
questions ,
on lui répond avec le vent
comme une crêpe , on le retourne ; on l’enfourne dans un chapeau à double fond, et il se gratte le menton , dubitatif
car quand même , il voit bien qu’on se fout de lui, (quand même)
là
Baissant les yeux il vit que l ‘autre se frottait les mains et se grattait le nez, un œil ailleurs, j’vous dirais pas où , volant entre les fils électriques qui zébraient la ville, caressant les blue jeans moulés des filles et les porte- feuilles gonflés des mercedes surgonflées ,
il se dit bon je vois bien qu’on est en plein cauchemar et moi pendant ce temps je me fais du mouron, j’en perd mes cheveux qui zébrent la ville caressant les blue jeans moulés des filles et les porte- feuilles prostrés des cadillacs survoltées
je prend pas le soleil et je me roule pas dans les pâquerettes,
s’en fout la vie ,
Le soleil étincelant, les girls s’habillent de leur vêtements d’ange de soie, agitent leurs popotins multicoulours, les dauphins glissent dans l’eau de l’absolu, la vie proprette cochenille continue ses ravages et le cocon cocoone, le papillon papillonne, les bourgeons bourgeonnent …
© photo Vasil Qesari
Peace ! let live and get satisfaction (while U can ! ) whales on the beach , breathe wide while surfer bend waves , Jah !
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