Comment se fait-il que – alors que la personne est en train de perdre pied et s’effondre sous sa propre incapacité à rendre compte de sa réalité physique, autant par son expression que le contenu de ce qu’elle dit, visiblement, (mais est-ce visible ?) mal à l’aise et dérivant loin de ceux-ici présent, en tout premier par la cohérence
Comment se fait-il que ceux-ci qui la regardent ne voient que quelqu’un un peu en difficulté, un peu risible mais qui ne porte pas à conséquence, ils ne voient rien à redire, le démettent en quelque sorte,
RIEN d’ailleurs étant le maitre mot , rien à dire sur ce qui se passe, aucune intervention pour remettre à jour le cours, en ont-ils conscience même,
se passe t-il quelque chose et n’en parle t-on pas puisqu’on ne parle que de ce dont on peut dire quelque chose, mais oui aussi, parce qu’il y a une fracture et un effondrement qui n’en fini pas d’émettre des ondes qui désespéramment l’éloignent et font de lui quelqu’un qui se tait.
Encore une fois, sans que rien apparemment ne soit visible – dans une concomitance ou synchronicité, une ligne invisible sépare deux phénomènes distincts qui ne devraient être qu’un quoique perçus différemment,
la réalité, suit-elle les lignes de force de l’impression, générée par elle et l’être, alors est-il dévié ?