Suppose qu’elle ne te regarde jamais ou pas,
suppose que la lumière du jour ranime ce feu éteint qui brûle dans l’ombre,
que tu ais froid, feu froid, my boy,
que tu ne respire plus
que tu t’éteignes sans orbite
ayant banni l’amour, qu’à jamais disparue la ligne des lignes de ta main se détache
ne t’enflamme plus
visage évanoui que tu recouvres de tes cheveux

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

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