Dans le cuivre des bras sur la peau mate et tannée , le jazz, rock acide ou mélodie, le vent d’un souffle perçant sous la chaleur d’un souffle de vent le vent venu de l’intérieur chargé des particules des pollens habitants de la forêt
Quant à la mer qui porte les bateaux où habitent les dents argent des vagues infestées de requins
démesurées hautes comme des falaises on pourrait trouver des lézards des crabes et des poissons où l’air dévale remontant les facettes de granite les quartz et les laves regrettant la chaleur d’Antan la dureté brille, mate et profonde jusqu’à rugir avec les flots qui se cassent pour ainsi dire le nez dessus
finissent sur le cœur en bris des artères comme un limon qu’il faut éponger laver l’épanchement des saignements
ce vent enfle gonfle démesurément sans l’unique robe montgolfière rose décorée du tremblement de l’étendue bleue des perles ;
les bouches s’ouvrent et se referme
sans qu’on les voit comme la pluie enrobe de brume cajole par frange par film de gaze les nuages, non, la chevelure,les rubans, puisent aux flots les visée fauves par l’esprit attachent une corde dérobent le corps d’une vie d’eau et soulage est une fontaine sous une coque dévoilée
l’unique plus, capte la jouissance comme la puissance Genèse coche décoche le rite.

Ultra-hypnotique ce portrait – un paysage de Méditerranée
– Et pensant à l’actualité récente de ces migrants engloutis sous le bal des haines de l’Etranger, l’espoir d’une vie meilleure…Méditerranée
ouh ! j’ai l’impression de retrouver un peu l’envie d’écrire ce matin , feels good, you in NYC ?
Spring touch !!
Pas de séjour prévu cette année…