L’abord réel du monde n’est plus répercuté que par des masses de couleurs, à prédominance verte la chaleur et l’humidité situent immédiatement dans le cuit et le monde dans la vapeur.
Le vital tend à s’échapper, on y voit une poursuite qui de masque en masque se dérobe, échappant au point final de l’immobilité définitive.
Pour l’heure étriqué dans un costume fripé il ne semble pas y avoir d’autre issu que la transformation c’est à dire la grande mue perpétuelle qui revient à courir.
