courir

L’abord réel du monde n’est plus répercuté que par des masses de couleurs, à prédominance verte la chaleur et l’humidité situent immédiatement dans le cuit et le monde dans la vapeur.

Le vital tend à s’échapper, on y voit une poursuite qui de masque en masque se dérobe, échappant au point final de l’immobilité définitive.

Pour l’heure étriqué dans un costume fripé  il ne semble pas y avoir d’autre issu que la transformation c’est à dire la grande mue perpétuelle qui revient à courir.

(c) inconnu
(c) inconnu

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.