La beauté de ton regard
quand la douleur revient de loin
comme de la remontée d’un puits
les eaux troubles filant entre les mailles
tes yeux le seuil des larmes
sans qu’ils ne pleurent
dessinée sur la main
la flamme et le lointain
l’épine
ramenée du lieu de l’orage
le noir
protège du lieu de l’ombre
la beauté, ferveur sauvage est de pierre
comme le roulement lointain d’un orage qui s’éloigne… ce n’est pas le genre de poésie que j’aime écrire ou lire, mais c’est prenant.
être moderne n’est pas la question, je suis passionné par l’antiquité ; sans doute faut il réfléchir à différente façon de se situer dans et par le langage ,
ces feuillets, appelés à disparaitre sont des tentatives, il y a un moment où il faut faire mieux que des tentative et être de plein pied, si faire se peut