La théorie du marsup

Ras le kiwi bien que kangaroo simple statement mais qui en dit long —— 

c’est pas un non c’est un pwitt , kangakiwi car dans l’ile point trop de marsupiaux, or le marsupial bien que non marsoin ni martial, en général — ferait bien rire de voir un marsup général – no, le marsup évite tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un palmier en chaleur arborant ces poils en guise de duc de Guise  ou disguise de coquette analphabête , bête comme pas une bête, le marsup établit sa demeure en la traversant de long en large et parfois creuse des trous pour tenter la traversée verticale autrement dit de haut en bas aller retour — le marsup n’a ni visa ni premier (master card) mais par contre un botte pour ainsi dire et pourrait en redonner à Lord Queensberry marquis — le marsup est plutot maquis marron et bushy — le marsup en pelisse et outback hat poussière — pas de haut de forme ni de queue de pie — saute à rebours et à travers  joie et pérégrination abracadabrante  — l’autoroutier est dépassé et l’amazonienne et l’outback stretch (Stuart highway) y perdent leur diagonale —- dingonale ! — cheers up le wall à bee — une abeille dans le mur plutot que mur à miel — le marsup ne conçoit pas les murs et l’abeille s’en sert de cache, des murs c’est le trou qu’elle retient , le marsup lui, contourne les mur et parfois s’en prernd un en pleine face, il ne les conçoit pas et uUtopiste est tenté parfois de lui étendre une droite, ce qui fait mal ou une gauche , gaucher il s’en démettrait le poil niais — mais le marsup à l’ordinaire évite les droites, les murs et vadrouille allègrement à bon plaisir tel un libre penseur du XVIIIe trou sur le green de la mammifèreté — le marsupial étant une évolution de la mammifèreté — du coté femelle ___ que je recommend ( du verbe mend : réparer ; euh non rien à voir , oups )

or , 

et c’est là que ça se corse —- les gens du cru quoique non marsupiaux, il faudrait se pencher sur la question mais il semble en première analyse que ce ne soit pas le cas —  les mammifères de ce lieu appelé Corse sont en effet amateur de maquis, mais tel n’est point le sujet, ne nous égarons pas — et je fais explicitement et de façon non équivoque référence au verbe (se) corser, :

corser

verbe
1 renforcer, affermir, atténuer, fortifier
[antonyme] affaiblir, abattre, ébranler, amollir
2 empirer, envenimer, aggraver, aigrir, aviver  [le Littré lui ne le trouve pas , dans mon édition en tout cas et puis cela ne nous éclaire pas sur l’étymologie, car c’est le rapport entre le verbe et la toponymie qui nous intéresse , ainsi on peut lire quelque part (la notion d’espace est relative mais ne compliquons pas tout ! ] [ ORIGINE ]
On sait qu’en Corse (Lien externe), les choses peuvent très vite monter en intensité car les gens y ont le sang chaud[1].
Il est donc aisé de comprendre comment, au figuré, notre expression aurait pu naître. Mais hélas, si on parie que c’est de cette belle île que vient notre expression, il est certain qu’on n’aura pas le droit de revenir en deuxième semaine !En effet, c’est issu du mot ‘corps’ que le verbe ‘corser’ est apparu au milieu du XVIe siècle pour dire « prendre à bras le corps ». Puis, après avoir été un peu oublié, ce verbe est revenu en usage au XIXe siècle, mais basé cette fois sur un autre sens du mot ‘corps’, la consistance, qui au figuré, est devenu l’intensité ou la force, signification qui nous intéresse ici.
Quelque chose qui est corsé, c’est quelque chose d’intense, de fort, de piquant comme un vin ou un assaisonnement (je vous remets une cuillère d’harissa ? Lien externe).C’est ainsi que lorsqu’on dit d’une chose qu’elle « se corse », c’est qu’elle devient plus forte, plus intense et, par extension, plus compliquée (la difficulté devient plus forte).[1] Ainsi que le disait Don Quichotte lorsqu’il appelait son célèbre serviteur.
bref !
faisons une pose — capuccino , icecream, popcorn, germes de blés, tendre pousses d’eucalyptus ! bouquet d’herbe à brebis, — bon nous pouvons reprendre — le fil  —
Néanmoins, quoique remontant au Temps du Rêve le marsupial a fortement influencé les mammifères de la grande île récemment établis, et je ne parle pas des lapins, sujet connexe mais déconnecté de notre enjeu, on murmure qu’une sympathie ontologique (sic) aurait pu attirer les forçats et autres rebuts de l’humanité vers le lieu de résidence transversale et aléatoire (car les marsup résident de façon aléatoire et l’étude de leur habitat révèle des pratiques éloignées de celle des bagnards, fussent ils issus du XVIIIe arrondissement temporel  britannique élargi- la notion d’immigration est là aussi essentielle quoique discontinue au cours du temps cependant court de la colonisation de l’ile-continent par les mammifères transocéaniques et non-marsup et si l’on excepte bien sur les dépendances celtique du Realm – les mammals autochtones et natifs dit abo étant ici hors de cause à l’échelle temporelle  choisie )  indeed The wide range of marsupial body shapes, sizes, and structures indicates that these animals have adapted to a variety of environments. Marsupial mice live on the forest floor, and marsupial moles burrow beneath the ground. Some marsupials have developed the ability to glide through the forest like flying squirrels. The water opossum is adapted for life in aquatic…mais cela n’est pas très explicite, en effet ce que je tentais de mettre en évidence est la caractère aléatoire de l’existence du marsup, concept peut être sans équivalent dans le monde des mammifères antérieurs les marsups différant de ces derniers de multiples façon, pour notre ébahie édification;

Le koala (Phascolarctos cinereus) dort près de 18 h par jour coincé entre deux branches

ce qui explique en effet mon ascendance marsupiale et évacue de fait toute parenté entre le marsup et la mère supérieure, laquelle prie ou fait semblant pendant seulement 8 heures par jour et, c’est là un point essentiel, car prier n’est pas dormir, mais est ce là une caractéristique du marsup, je crains bien que non et je profite de l’occasion qui m’est donné pour évacuer l »idée saugrenue mais tenace que le terme marsup (inventé pour l’occasion) soit apparenté aux notion maritime (mar) et culinaire (s(o)up ; il n’en est rien ! le marsup n’est en aucun cas maritime ni, et j’insiste, culinaire , ceci pour évacuer la tentation que certains pourraient nourrir de faire cuire le marsup, le marsup n’est pas comestible ni soluble dans l’eau de soupe , qu’on se le dise et n’en revienne pas !

ceci étant établi, digestion et pohétization,

revenons à nos moutons, figure of speech car mouton n’est pas marsup et en est au contraire aux antipodes, mettant ainsi en lumière le concept d’émigration contradictoire, nous y reviendrons, ou pas, car who cares et c’est très bien ainsi ; bref

Nous en étions resté au marsup car le marsup est notre sujet et notre sujet est le marsup (Monthy Pithon, book IV verset 3254), or donc nous évoquions il y a peu la philosophie de l’existence du marsup lequel ne tolère pas les droites ni les murs ni les enceintes de prison ni les gouvernements (dérivé de façon avéré de « garnement ») ni les autorités centrales alors que le marsup est plutot de type périphérique et à tout le moins imprévisible,  n’obéissant qu’à son bon vouloir et fantaisie (le fait est reconnu par le tjuringa de l’ancêtre marsup) sa démarche sautillante le poussant à se déplacer tantôt par bonds successifs tantôt à cloche pieds tandis que certains membre de la société secrète du frémissement du Vieil Homme Kangaroo (VHK) du spinifex tournoient comme des toupies pour éviter les touffes et dardent comme des éclairs lumineux vieux et tordus se couvrant de poussière rouge ou verte selon l’occasion mais la green dust ne se trouve qu’en un certain lieu de l’outback core ce qui s’explique cela va sans dire et c’est pourquoi je ne n’en dirait mot, car  si j’osais l’ancêtre me mordrait les fesses  et je tiens à mes fesses, dodues peut être mais pratiques, et j’en ai que d’eux au nombre de deux, elles se dénombrent et ne se démontent pas d’où ma prudence, l’ancêtre étant juste et héroïque mais vicieux, redoublons de prudence, je l’ai déjà dit mais la vie est un éternel recommencement et je commence à bailler, signe que mon estomac rempli de feuilles d’eucalyptus prémâchées demande à se relâcher, l’heure est donc venue de me coincer entre deux maitresses branches et de piquer un roupillon

réveillez moi dans 18 heures

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

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