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mais l’ours vit en paix à la lisière
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il fronce les sourcils et perçoit la violence des agrégats de fer et de ciment
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lave ses yeux voilés du dépôt à ordure dans le lac
il laisse la pourriture de l’humus nourrir les pousses et les jeunes arbres gloutonne le miel du pollen des fleurs
la mort nourrit la vie bourgeonne et pollenise
qui (se) tait son nom s’épelle baies et fougères le ciel répercute la saveur regorge berries and brombies savourent pelage fiévreux museau mutin
plante (paw) loquace soumet la trace la neige heureuse garde
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au sud la migraine ophtalmique déboussole les croque mitaines cancérigène font front
tournant le dos il gronde on entend non la diversité des fleurs et l’eau câline
même quand il en croque il joue avec la truite fraternité de l’eau et des bois de loin le cheval hennit et s’enfonce profondément dans la hauteur
l’ours s’emballe et hume le nord les glaces ferment du seul lieu encore indemne en soi roulent les congères
brun des pattes ouvrent le sentiers plongent dans l’eau des froids (effroi) les troncs
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racolent
un par un
la forêt indiffère le cumul annule l’amulette Amule <aite