on ne sait rien
des remous en dessous
sans doute profondeur abyssale
d’entre les roches
des vallées craquées
reprises abruptes
des jardins délaissés
ouïssent les cercles des cratères engloutis
les brisures entament une couture
la masse répond
clos la question
corps bleus nuées sombres des été
à corde de démesure
les tiraillements
polissent un pli
envolée de la marche
vaste remontée d’eau
libation de l’air
la transparence
un apaisement de cristal
yeux des vagues
une peau d’eau sur les brisants
la pesanteur
harmonie des forces
suspend l’ébriété
sont rythmes désaccordés
la couleur comme une étoffe
batik polyphonique
élancées
sphères
l’étreinte d’ une consolation