Poussière
faîte du chemin
les pas
l’homme
dans le pas
les strates
une route
le corps
où se porter
alentour
la gifle
volent
les fugues au givre
le voile de lumière
tremble
fugitif de cet épars
© L S 2008
tempo
le corps
à dent dure
trace
à l’espace
frise la fulgurance
brise
une veine
l’entaille
au réel
ce peu
gémir
survit à l’étanchement
la soif
s’étend
