MIKEL LABOA

la forêt martellée au frisson

( xoriek)

Xarma eta harridura azken unera arte gordetzen dituen komunikatzaile mitikoa dugu Laboa; distira, transgresioa, identitatea eta modernitate herrikoi hurbila darizkio bere lan orori eta, oraingoan ere, kantu berriak biltzen dituen disko honetan, intuizio berdina topatzen dugu: alde batetik, txorien mundu oniriko, metaforikoa, eta, bestaldetik, bere oinarri zein inspirazio iturri izan diren hainbat autoreri eskainitako omenaldiak (Joyce, Billie Holliday, Brecht, Brel ).

comme disait Anna Moï, laissons les langues intraduites on y comprend tellement d’autres choses , c’est mieux comme ça , non !

( james joyce in memoriam)

le grand chanteur basque puise aux profondeurs fissurées de la voix et de l’abri antédilluvien , arrache aux sonorités abruptes et rêveuses la plus grande modernité ,

homme se dressant aux rochers vers l’océan au ciel de l’avenir, il parle à tous des chemins de l’imaginaire entrevus , comme Benat Achiary , à qui ma peinture et mon amour de la poésie doit tant, comme Chillida qui du haut de sa terre abordait à tous les archipels de l’intelligence humaine , la poésie et les éléments .

Il trace une voie et redonne voix à Joyce, Brecht, Brel et Billie Holliday, Atahualpa Yupanqui, Bernardo Atxaga, Joxe Anton Artze) en remous oniriques sonner toutes les langues au trajet vocal de son .
(negua , ) les chansons que je préfère sont trop longues , hélas ! à voir sur le site de elkarlanean http://www.elkarlanean.com

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.