merci à Ariaga (que j’avais abandonné comme beaucoup d’autres blogs) de la référence au mystique iranien Rûzbehân Baqlî Shîrâzî poésie persane à écouter au son du târ ou du santour qui tempère le détachement nécessaire. Tantôt ardente de feu, tantôt vibrante de musique ; tantôt la substance même de l’argile humaine est consumée par leLire la suite « Le jasmin des fidèles d’amour »