Les matins de la rue Félix-Faure étaient des matins qui réconciliaient l’être avec lui-même, avec l’autre, avec la vie. Le philosophe de la rue Félix-Faure disait que les matins de la rue Félix-Faure réconciliait l’être avec ses élucubrations, ses incertitudes, ses angoisses, ses doutes, son égoïsme et, malgré tout, son espérance. C’était l’espérance doublée deLire la suite « ken Bugul »