Le cri de l’enfant seul face à la fin du temps
l’impossibilité d’inverser le magnétisme
lignes de la main et les fibres des peaux
le gros estuaire s’agit il du corps seul
ou  une subtilité de la plus grande attache
dans le centre des neurones le désordre tourne
heurte le plus grand vide en devant
sacoche comme un second ventre
grandes eaux où se noient le désir
comme en tourbillon noir
la turbulence échoue à toucher la connivence
sans que le sol ne s’ouvre et effondre l’en-vie

45289302

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

%d blogueurs aiment cette page :