Et sans écart de style admettre
Qu’il n’est plus possible de dire
Ni d’envisager
La figure au cœur de la tromperie
S’agit t’il de sauver ? un filet d’eau, cette idée est tentante, la verser serait à ce prix et demanderait cet écart quand nierait l’obstination d’un axe astigmate
La brutalité flottant entre les approximations et la position couchée, de la vérité ne permettent plus
de poser un regard ferme
Aimer semble s’en être allé au désert ou glacé dans la cruche l’eau terne de la rivière
Abimant le cœur dans un évanouissement qui confine fermement au doute
Fine et entrecoupée de toile le noir
Bêlement d’une confusion cédant le pas à la colère lorsque tout cède et que se perd la fixité
Paroles du flou délivrant la dérive des ombres
Sous sa chemise se cabrent d’une jaunisse
Le heurt
Le cœur de vide
L’ image froissée
Du à une migraine ophtalmique ce violacé de nos visages se regardant ne tenait pas dans la calligraphie des lettres aimées.
Cette lumière de toi tenant de cet effondrement des toits nous plongent dans l’effarement et établissent la solitude.
Respectant la casse
et écrivant avec une attention avide Une saine orthographe ponctuée ça et là de déroute typographique.
L’alouette encore elle N’est pas revenu de sa cache africaine Et aux grands lacs s’est faite mitraillée par un gang sanguinaire.
Dans les draps mouillés d’une facture hyper réaliste la nécessité du surréalisme pour débrouiller les vues hagardes d’un œil brouillé
s’en fut allé.