temps pleinement de l’un à l’autre sans que se résorbe ce que doit advenir si le vide répond à ce qui est vide c’est à dire proche de tout résonne sans qu’il y ait pour cela de son
la grande vigueur
l’absence
de ce que je vois bien être au delà sans que je ne m’en sente éloigné
la lumière transporte du plein ou cru tel au vide ou cru tel
l’apparente prosternation qui ne fait qu’englober
l’alternative
mouvement
m’isole mais ne me prive pour autant que je puisse en juger
ou comme une luminescence effarente le sentir la tête coiffée d’étoiles