(IB) je cherche le point d’impact entre le monde et le sujet, quelque chose comme le contraire du rêve, en fait. Pas d’échappatoire
je m’étais penché sur ce problème en peinture, en poésie aussi mais j’ai remis le rêve au centre,
peut être qu’il ne la jamais quitter du fait que je ne suis pas capable de voir autrement qu’en rêve
je n’approche pas
le point d’impact est distant
un écho ou il emprunte d’autre chemins
des détours pour parvenir à contacter
du coup, le centre du rêve englobe, il y a éloignement à chaque fois du point d’ancrage
est-ce à voir avec l’aimantation,
l’affect primordiale dans l’envisagement du réel et du langage ?
qui pourtant recherche inlassablement son accroche mais ne le trouve pas
l’impossibilité du lieu et du temps
rend la simultanéité impossible, un décalage obligé, le parrallèlisme et la torsion dévie
(IB) pour quelles raisons tu l’as remis au centre ?
peut être parce qu’il n’y a pas de centre et qu’on est bousculé vers l’avant sous l’action du Rêve
(IB) infini… un cercle dont le centre est partout et la circonférence nulle part. Les rêves seraient notre seul infini ?