à SIL
un écho
me parvient contre les parois de l’ordre
virtuelles mais humaines et poétiques
esthétique
l’espace le son
la lumière et la parole
la couleur à l’oeuvre dans le tableau
le beau
magnifie l’une
le poème
l’éclat
qui cherche ses sourcesdes angles les plus improbables
une musique éclectique
parodie électrique
que le vent jusqu’alors jouait à me cacher
de nouvelles phonétiques à cramer les ondes
lorsque la voix se rit des flux de l’ambiguïté
me soufflant des bronches paléontologiques
charades
comme des strates d’une roche saturnienne
dans la métaphore de l’éther
métamorphe
je lèchais toute une galaxie de nébuleuses
rougeâtre
les pâles d’une contradiction du vide
ma langue
tend un filet erructant au poème
je fais du rentre-dedans
tangue en tongue
la parole abrogée au chant
elle sirène
je n’étais pas attaché au mat
plutot Boutès qu’Ulysse
la rosée gagne
le vide est astral quand dans la barque
le bleu vire au rouge
vin
extatique
quand l’indigo est universeltechnovibes
L’Espace Illuminant
LAM
Il l’hume mine sanguine, il l’hume rosée, la précieuse goutte perlée source efflorescente délicate, les gouttes frêles en parcelle parsemées de brillances – la vibrance se désigne par ce Là.
////
SI TOUCHEE car je ne m’y attendais pas. Un beau présent, merci de ta générosité.
lire Gullar ça fait rêver à une autre poésie, plus dans la chair de la vie et moins dans l’écho du mot #évolution
Parce que là…
En cet instant où l’oiseau tremble…
« On »
Bat de l’aile !
« On »
Entend le bruissement d’un envol…
« On »
Ecrit…
Une phrase personnelle tonitruante au sein de l’oiseau qui chante notre ambiance…
« On »
Devient en l’âme du chant qui s’improvise en l’entier de l’âme qui nous habite subitement pour abriter notre amour du vivant…
Le cantique de l’oiseau…
Oh ! Le chant de l’oiseau niché au coeur de l’arbre qui ne cessera « jamais » de nous abriter…
Qui ne parviendra plus jamais à taire son écho…
Pour nous forcer à parler du « vivant »…
Oh ! comme c’est beau!!!
Bravo
surtout contuinuer
Amicalement
Bon wee
@ MCT l’oiseau (1996, ça date mai bon ! )
Il y a les fibres du devenir dans le présent de ce qui était hier
je suis neuf
emplit de sève renouvellée
vierge et hors du temps
oiseau sur une branche qui rit
regard vert dans une chevelure noire qui luit
dans son regard
la nuit des temps renouvellée
dans cet instant
cet éclair
qui explose en un monde nouveau
qui se détache d’hier
un à un
dans un équilibre instable
libre
voletant
bulle qui tournoie sur elle même
de gauche
de droite
dans un mouvement espiègle
imprévisible
ce monde
qui brille de vivre libre en …suspend
léger
léger
et devient …………
l’oiseau
1996 !?
Mais je ne le savais pas…
Je viens de découvrir votre existence.
Ces rebondissements d’un poème a posteriori sont toujours troublants lorsqu’à l’impromptu, ils donnent signe de vie ?!
Mon poème était spontané; je l’ai peaufiné ce matin.
Le votre a la pureté de la simplicité dont le monde a besoin…
C’est beau ce commentaire de MCT
Je tenais à le dire
Bon Dimanche
merci , nouvelles amies de ces signes d’amitié qui me vont droit au cœur ! de 1996 c’est l’oiseau cité en commentaire en réponse au votre , très beau