COMME DES AMES A TRAVERS LA CAGE
LES OMBRES JOUENT A SE FAIRE PEUR
La lumière régale une opacité de fête, devin le dervish cible à l’entremet et pleure, un régal égal, l’irrémédiable consent à s’assortir, un vulnéraire dérisoire
décline l’émiettement d’un parterre étoilé, ci-git celles-ci invisible aléatoires, ce sont les feuilles craquelées, elles se fraye un chemin vers le dicible, rient de se savoir à terre,
colloïdal, asphodèle circonspecte
isthme de déroute,
le passage étroit fluctue le doigt se plie
le soleil passe.
ah ah ah ah on joue,joue avec les effets très spéciaux.
et oui ; je l’aurai voulu en rouge la star étoilée , c’est une vieille photo d’une poétesse géniale , un monstre sacré en quelque sorte , mais j’ai pas trouvé , tant pis ; pas mal pour un début non !
je suis sur de connaître…
c’est qu’elle est très célèbre … j’ai essayé de la déguiser pour le fun mais …