L’élancement du pinceau plonge au cœur du vide recueille le vivant qui cherche à percer comme les mots qui affleurent nourrissent le sentiment d’exister. Les pigments de mots, l’étincelle, laissent rêver au feu des couleurs, au pesant de la lave comme un retour à une ascendance révélée au fil des visages que l’humanité se donne.
Scruter la terre la nature est son atelier, la couleur, la matière musicale ouvrent le sens intime.
Peintre Poète, il sculpte le rêve que la main porte, en écho à ce chant du monde au cœur de l’homme immémorial.
Je tombe à terre pour me faire pourrir,
Que les vers s’empressent de me digérer,
Au pied du maudit poète,
Que je devienne enfin l’aérienne,
Qui vole au-dessus des nuages.
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De belles images que ces mots à dire, et la Touch Coco.
Bises.
les mots sont des chiens qui ressemblent à leurs maîtres, tantôt sauvages et tantôt doux, tantôt en dressage et tantôt fou!
A la niche ou en vadrouille, caressés ou bien battus…pourvu qu’ils échappent à la muselière! (et ça vaut aussi pour les maîtres!)