L’élancement du pinceau plonge au cœur du vide recueille le vivant qui cherche à percer comme les mots qui affleurent nourrissent le sentiment d’exister. Les pigments de mots, l’étincelle, laissent rêver au feu des couleurs, au pesant de la lave comme un retour à une ascendance révélée au fil des visages que l’humanité se donne.
Scruter la terre la nature est son atelier, la couleur, la matière musicale ouvrent le sens intime.
Peintre Poète, il sculpte le rêve que la main porte, en écho à ce chant du monde au cœur de l’homme immémorial.
C’est un beau signe, il va m’aider à puiser dans mes forces. Je t’embrasse.
…ça me rappelle que ça va être la défête (sic) des moutons!
Un coup de foudre pour le premier! Résolument! Par ses couches denses qui laissent entrevoir des mondes parallèles où peut voguer notre imagination!