mordre au coeur

blanc, nuit, mer ….soleil, ombre , partir, la légèreté gracieuse de l’ile! et la courbe féline de celle qui mord au coeur, elle enrobe son charme comme le lièrre autour de l’arbre creuse le sillon d’une parure baiser farouche la beauté obstinée n’a qu’une peau rappelle l’eau au matin

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

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