sur une émotion forte @ louvain la neuve le pied m’en rappelle un autre …
zi , j’me rappelle de cte neige de l’aut’ coté v;, ça fait frémir , certains trouvent ça beau et ça l’est certes mais me donne envie de dormir en grand ours ,
la fin de l’histoire ne me fait pas rigoler du tout sauf à être aussi vierge étal que le grand cosmos en forme de pied , une sorte de tout est possible mais alors que seule l’empreinte reste et que tous ces gribouillis d’écriture disparaissent avec leurs intentions scribouillardes nauséabonde ,
l’immensité du ciel est là commme celle de la terre et du pied nu et faut qu’il glosent dessus en mode inventaire , en en description maçonniques , en débabillage ethnique , en … foutez nous la paix ! quoidé-braillage ,
laissez le pied être le pied et que son empreinte soit celle de la grande ourse à traque et à beau goinfrage de miel , louve dans son amnésie me comprendra ou pas ,
écrire , pouah ! mais quelles sont donc les bonnes questions , by jove ! ça nous échappe et c’est le plaisir de voir le fleuve s’écouler , hors de prise , qui nous anime , et nous fait dire le fleuve oui nous , cette matière intangible si inextangible ah non , mais extensible au vide qui me conçoit et me rappelle , comme au fleuve à la vague qui reflet, me voit …
pas ça en tout cas mais tout ce qui va avec et que l’on ne voit pas , les mottes de paille de la tanière et les belles ronflades d’hivers ,
ps : je me rappelle de beaux coup de pieds au cul , l’alternative j’en frémis encore alors que je récupérais de ma fatigue ancestrale coincé à l’abris de mes deux branches estivale et hivernale, car moi outre l’hibernative j’estive !

Empreintes nomades, fragiles comme la vie.