quant à moi ma hache à la main avec préméditation j’hacharne à briser les barrières d’un bois serré dont on fait les prisons à tomber pour transpirer la lumière d’une caresse enfin libre mes murs de fer laissent l’aspire d’une aube charnelle envoler les lèvres pour qu’un mot se dessine à se poser sur taLire la suite « « l’averse étincelante et céleste de son sourire ». »