ah bon elle était à la page 43 la carte bleue , je croyais qu’elle s’était glissée dans une boite de boursin vide qui avait dégringolé de son statut d’icone imperturbable à celui de rebut indésirable et avait chuté en cahotant dans le sac poubelle qui comme une plante carnivore (déchetivore pour être exact) l’avaitLire la suite « élucidation du mystère de la librairie José Corti »
Archives de la catégorie : Non classé
en pause ! reviendrais après l’été ! ou avant selon l’inspiration …
euc amer
Titien dans les flots
G gout du sel marin sur ma peau B brasser l’eau du rivage retrouver les mouvements dorsaux, M me sentir nageoire Je retrouve l’eau la mer m’environnemon alliée anciennecette fois mon hibiscus est bien trempé un bien être me soulage Je pense au Titien quand il peint Suzanne et les vieillards, vieil homme qui lorgneLire la suite « Titien dans les flots »
l’étoilement
Une duite est un fil que la navette d’un métier à tisser conduit depuis une lisière jusqu’à l’autre, dans l’ourdissage d’une étoffe quelconque. l’étymologie de ce mot réside dans l’ancien verbe « duire », qui signifie conduire.Comment donc s’approcher d’un tel retrait ? comment traverser la lisière ? Comment se conduire devant-jusqu’à – une telle singularité ?Lire la suite « l’étoilement »
cahier
Je te reviens en cahierqui m’offre le repliretraitordonne la penséela structurepermet d’échapper au foisonnement Quitte à y revenirquand ce qu’il faut savoir- retenirdu chaos est tu la surface claireimbriquéealors peut se diffracterlibrement l’indicible hétéroclitereprend ses droits
vire à l’oeil
un peintre s’échine épuise les yeuxà vouloir voir ce qu’il devine déjàretrace mentalementles couleurs l’aval de sombrele doré du noir l’éclat creuse à se faire malobsédé par la beauté perçuec’est à dire qu’il l’a vuil voudrait la capterfascinécette lumière qui pourtant est le toutde ce qu’il voits’il tente de la direil s’en éloigne mais sonLire la suite « vire à l’oeil »
la ville
comme une ville qui à cent à l’heure proposent toutes les facettes d’un prisme, l’inattendu et l’improbable , rendu possible , quoique la marche en passant les soupirs d’un lieu , l’étranglement d’un rale, les allées et venues des pensées , l’organisation d’un béton et l’étiolement des pierres, l’étoilement des lumières, la ville rend àLire la suite « la ville »
bouge ta kenya , UV garantie
Asphodèle
COMME DES AMES A TRAVERS LA CAGE LES OMBRES JOUENT A SE FAIRE PEUR La lumière régale une opacité de fête, devin le dervish cible à l’entremet et pleure, un régal égal, l’irrémédiable consent à s’assortir, un vulnéraire dérisoiredécline l’émiettement d’un parterre étoilé, ci-git celles-ci invisible aléatoires, ce sont les feuilles craquelées, elles se frayeLire la suite « Asphodèle »