poemAmina

nouvelle version d’Amina sur

le regard d’Orion

Amina, c’est le nom que je te donne , sa farine touche à toutes les rives, je n’ose les dire,

la peau s’éclat soie noire comme nuit au soleil, elles pourraient disparaitre,

ce n’est que fruit et fleur
abeille mutine à rive d’elle
une carte marine charme
sombre la profondeur océane

les plis de la bouche touchent au bord de l’ébène

cœur mûre et l’œil serré quand je croise tes yeux, la peau brune les veines d’un noir bleu de lave
lisses
tes cheveux ramenés comme deux mains saisissent le ciel………..

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

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