les lèvres remuant la peau ce peu de chair dévoile les mots ,
l’empreinte y laisse une secousse de l’air
l’embrase,
qui s’il faut le nommer de chevelure cheval en torse de muscle tremble sous la pression se tord comme un vent qui vole gifle comme des arbres secouées dans la furie du temps les branches injurient des flancs la rage un spasme du cœur exige le respire et l’expire
jambe repliées en maison sur moi, qui dresse les poutres ou la sueur de vivre nous recouvre en peau caprine le temps rêche durcit le sillon comme cuir
et nous en dessous