(en construction)
la banderole le sable à claire
la marIée nue dénoue réjouie
lac et spasme le mots gigogne
quand fer ce peu au bois j’irise ce bleuet
tu lippes happe à manche
é
blouissant
des lyres glissent à mes doigts
la trachée haute gland ou noix
s’éthernise rebelle au bond bal coeurn’roll
la coque in pétale greluche mon feu santal
brise rosagethyrénienne mon corps trident
o
range
tes bas à pointes blanches quadrillent
ce qu’on suchotte raffinent les babines
en
core sages
mais
your toutepointe à la braise bel
i
queue giratoire enfouie
en somme eye comme oeil
raide mon sang y mène
tu pleures heureuse
sole ni gage ni barre y lappent sans lise scarole la risée ôte
à ma plume le ailes a queues hissent due tempi et s’enflent
comme niagarà sèmaille et moisson
je trime rare en fleur au sable blanc
dérive
déferle
active
nous full
un brelan d’as
roar en paire
qui comme lazare épelle à rebours
drue
la verge s’étire et d’art s’enmitoufle
//mon corps trident//
belle conformation.
//la verge s’étire et d’art s’enmitoufle//
d’abord un artifact délicat de résine,
ensuite la créature délicate de son désir.
Le dard se réveille à la vue d’un trésor.
La dague d’or retouve son fourreau velours.
La fontaine déverse l’eau du désir et du plait-il, Sir.
Là, vers je, il y a des jeux.
Palpitant sangsue, Elle.
7 ciels pour l’Eden, 7 terres pour la semaison, 7 nuits pour JouIr.