,
sable comme une caresse ,
,
carmine ombrée la raie reluque
,
tandis que la bise salive le grain d’or
,
séisme bucal et l’empreinte mord à la peau
et chaud
,
mais courent les rides du sable les traces d’un vent sauvage
,
poignant
cette poudre
à
biCéphalle
crinière cerise ta mise tombe en mèche
foudroit
les flots lys
lisse ondulent
bigames comme igname
offrent s’étoffent
à dos soyeux
les portées d’air semis serré
échancrent décolletént les rousses douces
des astres ombrageuses
bras ou rage
l’On
se tord
sad
ou vert
les yeux fermés
moire
ma mie
à soie
) c’est mieux
les flots lys
lisse ondulent
bigames comme igname
offrent s’étoffent
à dos soyeux
les portées d’air semis serré
échancrent décolletént les rousses douces
des astres ombrageuses
bras ou rage
l’On
se tord
sad
ou vert
les yeux fermés
moire
ma mie
à soie
et
râlant racle
,
et tu me narre les cent fois où je suis venu
,
allumé de blues ta robe river surenchère mes phares à la lune carrosse et roue claire les sillons eau ma rive rive à ta rive comme Tanararive
sans nuit
ma rousse douce
s’indignent à l’entre-jambe
,
d’inde à taton rond
j’igo ma muerte indigo
,
et vive
,
,
la fougue python tète l’essaim melon
,
oxygène
à la veine
l’eau artère
en boule
,
l’ass à sein
nous pousse ravis en bouc émeraude