amour ultime la rocailleuse surgit des aspérités
blocs en échos andins
l’invisible emplit l’espace
le coeur
la peau
le temps
comme le ventre de la montagne indienne
comme ici la voix résonne de façon multiple
stature immobile de gravité
les traits ancestraux
pommettes sereines
au coeur de ton visage
de femme battue par la pluie
enocéannée au rocher de la vierge
en surplomb de la furie océanne
chant assuré en rêve des ailleurs
siempre Pablo…
Je… suis avare de commentaires quand je découvre une poésie tant vivante
qu’alors je souhaite la prendre en moi
puis douce, ouverte, attentive,
me faire taire
me faire plaire
Sachez Aloredelam, qu’ici, par votre fougue, c’est la paix, le désir, les sourires qui s’installent quand je viens lire votre poésie.
Pardonnez que je ne signe pas chaque passage ?
merci nina louve d’être une des fidèle d’ici et de réserver un regard généreux à ce que je voudrai partager ,
moi aussi je ne signe pas tous mes passages chez vous mais je me régale quand même !
amitiés !
Hello,
tombé par hasard sur ton site, ma curiosité se délecte de ton style libéré et de la puissance de ta sensibilité.
Juste pour ce poeme, p-e qu’il serait intéressant de remplacer « enocéannée » par « Calypso »…Je me permets cette remarque, mais je respecte ton oeuvre crois-moi. Simplement des échanges peuvent parfois ouvrir de nouveaux horizons.
Pour ma part, tu trouveras mes textes par ici: http://www.mespoemes.net/zaho
Ciao