Un grand merci à Nathalie Riéra qui me livre de nouveau une place dans sa revue et présente ce texte ‘ »le grand fleuve »
comme un chemin) de sable et de pierres qui mène à l’entre(pas 
© photo L Savigneux
…Dans Le Grand Fleuve, le cœur du poète est une terre de voyelles et de consonnes bousculées. Inlassable terre de nerfs où le bleu trop clément et le clair trop raisonnable ne s’interpellent pas, refusent la noce, afin de combler le désir du poète, et qui est : que la terre soit chant.
Chant libre d’une voix qui se consume de sa plénitude et de sa détonation jamais interrompue.
Des éclairs de vert et de vermeil dans la mélopée pour au mieux dire l’homme : ses utopies quand elles lui sont bienveillantes, ses rages quand elles sont de le porter vers ce qu’il a en lui de plus effondré et de plus éminent, et ses empathies les plus fraternelles »….
©Nathalie Riéra
(lire la suire sur http://lescarnetsdeucharis.hautetfort.com)
Beau texte,, belle illustration, il y a des moments où la vie vous gâte. Bises.